Cameroun 4 – 1 Kenya : Plus de peur que de mal pour Christopher Wooh

Au cours de la brillante victoire des Lions indomptables (4-1) face aux Harambees Stars du Kenya, tout n’a pas été rose pour le public qui a fait le déplacement de la cuvette de Mfandena. En effet, sur un gros choc, Christopher s’est blessé et a placé une grosse frayeur à tout le stade omnisport Ahmadou Ahidjo.

Décidement, le stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé n’a visiblement pas encore bien adapté le défenseur du Stade Rennais Christopher Wooh. En effet, on se souvient déjà que lors de la rencontre de la 3e journée des éliminatoires de la CAN 2023, dans ce même stade face à la Namibie, Christopher Wooh s’était blessé à la 43e minute. Il avait quitté la pelouse pour l’hôpital, suite à un choc à la tête avec un joueur namibien. Une nouvelle fois, toujours pour la troisième journée des éliminatoires de la CAN, cette fois-ci pour l’édition 2025, Christopher Wooh a placé tout le stade omnisports Ahmadou Ahidjo dans une grosse peur.

Suite à un coup franc exécuter par Bryan Mbeumo, la remise de Nouhou Tolo est presque parfaite. Mais dans un duel avec un défenseur Kényan, Christopher Wooh entre en choc avec l’épaule du défenseur en question. Le choc est tellement violent et la chute Christopher Wooh est inquiétante. On craint alors le pire au Stade Omnisports Ahmadou Ahidjo de Yaoundé. C’est le calme total. L’agitation des autres joueurs rend l’inquiétude plus stressante et intense. Après quelques soins, le joueurs de 23 ans est transporté sur civière sous les acclamations de la cuvette de Mfandéna.

Après quelques soins, il est transféré à l’hôpital général de de Yaoundé. Les informations sont rassurantes car le médecin Fotso Ngwapap a réussi à stabiliser la situation. Christopher Wooh est pris en charge à l’hôpital et reçoit la visite du président de la Fédération Camerounaise de Football Samuel Eto’o, du Ministre des Sports et de l’Éducation Physique Narcisse Mouelle Kombi et de celui de la santé Manaouda Malachi. Sur son compte Instagram, il annonce la bonne nouvelle au camerounais : « Merci pour vos messages, rien de grave. Plus de peur que de mal »  a-t-il écrit.