Samuel Eto’o pourrait ne pas se présenter à la FÉCAFOOT en 2025

Président de la Fédération Camerounaise de Football depuis décembre 2021, année à laquelle il a battu son ancien soutien Seidou Mbombo Njoya, Samuel Eto’o ne serait pas tenter d’obtenir un second mandat à la tête de l’instance faîtière du football Camerounais.

Samuel Eto’o serait tenté de viser la CAF dès 2025

En effet, le meilleur buteur de l’histoire des Lions indomptables du Cameroun et de l’histoire de la Coupe d’Afrique des Nations aurait une ambition bien plus élevée. De plus, le contexte de guerre et de mise des bâtons dans les roues dont il est victime, ne favorisent pas sa continuité à la tête du football camerounais. Ainsi selon kick442, Samuel Eto’o aurait confié à ses proches son ambition d’aller à l’assaut de la présidence de la Confédération Africaine de Football, dès l’élection de 2025. Le média d’Angu Lesley explique que c’est la raison pour laquelle Samuel Eto’o a entamé une tournée à la rencontre des chefs d’États africains.

L’ex star du FC Barcelone est à la recherche des soutiens et sait qu’à travers les chefs d’États, il peut obtenir les plébiscites des présidents de fédération de ces États. Pour rappel, ce sont les présidents des associations membres de la CAF qui constituent le collège électoral à la présidence de l’institution en charge du football africain. Aujourd’hui, la Confédération Africaine de Football compte 53 membres et il faudra la majorité des voix lors de l’élection pour être élu. Samuel Eto’o ambitionne donc de succéder à Dr Patrice Motsepe.

Si pour le moment, il n’a pas officialisé sa candidature, Samuel Eto’o pense déjà à sa succession à la Fédération Camerounaise de Football au cas où il passait à la CAF, Kick442 nous révèle que Nyamsi Mongue est celui qui aurait son soutien pour gérer l’instance s’il passait à la CAF. Par ailleurs, la question d’éligibilité de Samuel Eto’o à la CAF est entre parenthèses. En effet, avec sa condamnation de violation des principes de l’éthique du football, Samuel Eto’o peut dire adieu à son rêve, si l’appel de ses avocats est rejeté.